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11/09/2022

Le photojournalisme à Perpignan

Visa pour l'image

2022 Perpignan

 

Je n'ai, malheureusement, pas pu me rendre à Perpignan cette année pour le toujours formidable festival de photojournalisme.  J'ai donc acheté le catalogue publié par les éditions belges Snoeck, et je ne le regrette pas.

La photo de presse est un témoignage qui chaque fois en met "plein la vue" sur les réalités de la violence de notre monde.

Cette année, bien entendu, l'invasion, partielle, de l'Ukraine par la Russie.  Nous avons vu certaines de ces photos dans la presse française. Nous étions peut-être un peu préparés, mais certainement pas immunisés. C'est le reportage effectué à Marioupol pour Le Monde par Luc Bariolet qui a été récompensé par le "Visa d'Or". Le reportage du journaliste de New York Times nous rappelle que "des gens vivaient ici".

Ne pas oublier la dictature birmane, ni l'Afghanistan, ni l'Ethiopie, ni le Liban.

Et il n'y a pas que la guerre qui soit violente. Deux reportages sur des hôpitaux psychiatriques, en particulier en Afrique, soulignent la dureté de notre monde.

Les reportages dans les prisons ne sont guère plus gais.

Comme chaque année, des reportages sur les migrants nous donnent mauvaise conscience.

Comme chaque année également, des reportages sur les conséquences des changements climatiques sont l'occasion de superbes photos animalières avant,  disparitions possibles.

 

18:57 Publié dans photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photos