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05/06/2011

Leonardo da Vinci

L’obsession Vinci

Sophie Chauveau

Folio n°4880

 

Troisième, et dernier, volet de la trilogie sur les peintres du « siècle de Florence ». Après « La passion Lippi », mon préféré, celui dont la vie ressemble le plus à un roman et « Le rêve Botticelli ».

Léonard, le « génie universel », qui « rend intelligent qui l’écoute »,  « chercheur de liberté et de connaissances, revendiquant le droit au doute, peintre,  maître du « clair obscur » et du « sfumato ». Resté dans l’Histoire de l’Art de par sa « Joconde » (« l’invention du sourire »), sans oublier son « Annonciation », sa « Cène », sa « Belle ferronnière ».

Ingénieur militaire pour le compte de Ludovic Le Maure, Duc de Milan, puis pour César Borgia pour qui il fera construire le premier pont mobile d’Italie.

Inventeur d’instruments optiques,  il aurait tant voulu inventer des machines volantes.

Inventeur et fabriquant d’automates pour des fêtes somptueuses qu’il aimait à organiser pour le compte de ses maîtres.

Artiste itinérant de Florence à Milan, sous oublier Venise,  Mantoue, et même Rome quand un Médicis y sera élu Pape, avant de finir sa vie en France, comme invité de François 1er, au bord de la Loire. « Bouger ou être vivant sont synonymes, non ? ».

Sophie Chauveau nous fait revivre tout cela.

 

« L’antique mépris des nantis, bien à l’abri derrière leurs possessions »

« Se contenter de peu, mais avec un grand contentement. Un art certain pour le bonheur. » « Loin des rapetissantes vertus chrétiennes d’humilité, d’ascétisme, de culpabilité et de mauvaise conscience »

« Avec la médisance, rien ne court plus vite que la mégalomanie »

« Alors que je croyais apprendre à vivre, j’apprenais à mourir » (Leonard de Vinci)

 

 

08:22 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature

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