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10/08/2013

La saga des chevaliers normands en Sicile

Les chevaliers de proie

 

Le sang des Hauteville

 

Michel Subiela

 

J’ai lu n°8867

 

Comment des chevaliers normands, du Cotentin,  de basse extraction, partis comme mercenaires en Sicile, sont devenus Ducs et Contes en Pouilles et en Calabre, avant de conquérir la Sicile.

 

Le premier tome de cette saga court de l’an 1000 à 1063, soit trois ans avant la double défaite des Byzantins, contre les Normands à Bari, leur dernière place forte en Italie, et contre les Ottomans à Manzikert.

 

Tancrède, « bras de fer », est anobli par le Duc de Normandie, à qui il a sauvé la vie, un jour de chasse au sanglier. Ses fils partiront, ensemble ou l’un après l’autre, chercher fortune vers le Sud, se taillant des fiefs à la force de l’épée, et de la ruse.

 

Billard à trois bandes entre les Musulmans, qui n’étaient pas toujours unis,  les Byzantins, jamais à l’abri de trahisons,  et les Papistes, eux-mêmes divisés  entre Normands, Lombards, et autres, comme l’Empereur du Saint Empire romain germanique. C’est le temps du schisme entre Catholiques et « Orthodoxes ».

 

 

« Est-ce que les mots dont sont faits les contes ne sont pas encore l’encens de nos gloires et le baume de nos misères ? »

 

« Il est fort, il est beau, et, en plus, il est fou ! Que peut-on espérer de mieux d’un garçon ? »

 

 

 

18:23 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature

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