04/09/2018
Guerre, amours et trahisons
Les chemins de la fraternité
Jean-François Nahmias
éditions Albin Michel
La guerre de 1870, la défaite, la chute de l'Empire, le refus de la défaite, la République, l'élection d'une assemblée qui veut la paix, la Commune ("une ville entière de rêveurs").
Puisqu'il s'agit d'un roman, ce cadre historique est complété d'histoires d'amours et de trahisons.
"Ma vengeance, c'est la fraternité" (Victor Hugo à l'Assemblée Nationale, 1er mars 1871)
"Il ne manque pas un bouton de guêtre" (Maréchal Le Boeuf, ministre de la guerre)
"C'était un désastre sans précédent au XIXe siècle. La responsabilité en incombait au haut commandement, mais plus encore au gouvernement et, en premier lieu, à l'impératrice : de bout en bout, tant sur le plan politique que militaire, elle avait pris toutes les mauvaises décisions."
"A l'unanimité moins six voix, l'Assemblée vote la déchéance de Napoléon III et celle de sa dynastie."
"En 1848, à Vienne, a eu lieu un soulèvement libéral. Le général Windischgrätz, chargé de la réprimer, a choisi de quitter totalement la ville et de laisser se développer l'émeute, pour revenir en force. Tous les insurgés ont été exterminés."
09:02 Publié dans histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, histoire
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