Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/11/2006

un film qui mérite le dérangement

Une vérité qui dérange

 

 

(An inconvenient truth)

 

 

De Davis Guggenheim

 

 

Avec Al Gore, ancien vice-président des Etats-Unis

 

 

"Le problème du réchauffement climatique est moral, éthique et spirituel, mais les solutions sont politiques et économiques", déclare Al Gore, qui se présente,  avec une pointe d'autodérision,  comme "ex futur Président des Etats-Unis".

 

 

Il rappelle au passage la façon dont il a été battu par W Bush, malgré une majorité de votes populaires, par des votes litigieux dans l'Etat de Floride gouverné par le frère Bush.

 

 

Quand il était vice-président de Bill Clinton, Al Gore avait signé le Protocole de Kyoto contre la pollution atmosphérique qui provoque le réchauffement climatique.

 

Mais Bush a été élu, et les USA n'ont jamais ratifié Kyoto, donnant le mauvais exemple à d'autres pays qui en ont fait autant.

 

 

Tout au long du film, jamais ennuyeux,  sont montrées les causes et les conséquences du réchauffement climatique.

 

 

Les chiffres les plus effrayants concernent les médias :

 

- 98% des articles scientifiques sont d'accord sur les dangers du phénomène ;

 

- 56% des articles de "vulgarisation" des journaux et des magazines, à destination du grand public minimisent les causes et les conséquences, sur le thème "ne vous inquiétez pas, ce n'est pas si grave".

 

Al Gore n'hésite pas à mettre en avant la responsabilité particulière des USA qui "fournissent" 30% de la population atmosphérique mondiale.

 

 

Le film se termine par des conseils individuels et collectifs pour limiter la pollution atmosphérique.

 

 

Un film qu'il faut voir. Vous conseillerez vos amis d'aller le voir.

 

Il mériterait d'être projeté à l'AREA !

 

 

16:40 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.