Mon échec

1) Pourquoi des attaques personnelles ?

 

 

Selon moi, il est évident que les gens qui se livrent aux attaques personnelles le font pour masquer le vide de leurs idées et de leurs propositions.

 

C'est pour cette raison que vous ne trouverez aucune trace d'attaques personnelles dans nos déclarations, sur ce blog ou ailleurs, ni contre Colle, ni contre Dissaux, ni contre le Maire en presque 7 ans de mandat !

 

Des critiques sur les décisions, des propositions alternatives, jamais d'attaques contre les personnes.

 

 

2) Faut-il répondre aux attaques personnelles ? Cela vaut-il la peine ?

 

 

Malheureusement cela est probablement indispensable pour rétablir la vérité et ne pas laisser sans réponses les critiques.

 

 

3)  "il n'a pas fait ses preuves sur le terrain"

 

 

Attaque curieuse, surtout venant de Ph Colle, avec, incontestablement une part de vérité :

 

C'est pour cela que je n'étais candidat à rien, m'effaçant derrière JC Wident, qui, en matière de "terrain", m'est infiniment supérieur et n'a de leçon à recevoir ni de Colle ni de Dissaux !

 

 

4) Comparez !

 

 

Si je n'ai pas fait mes preuves sur le terrain (où je n'ai guère rencontré Ph Colle, sauf ces six derniers mois), pourquoi le sondage payé par la fédération socialiste du Pas-de-Calais me place-t-il devant Mr Dissaux, en notoriété et en bonnes opinions ?

 

Peut-être parce que ces sept dernières années j'étais plus "sur le terrain" que Colle et Dissaux réunis ?

 

 

 

 

5) Mon échec :

 

 

Mon échec, l'échec du secrétaire de section que j'étais, a été de voir "sa" section éclater, de ne pas parvenir à en assurer l'unité et la cohérence, surtout en vue du combat électoral.

 

Mon échec, a été de ne pas avoir été capable de contrer les manœuvres, au sein de la section et surtout auprès de la fédération, de Ph Colle qui a été, selon vos références culturelles "le cheval de Troie", "la 5ème colonne", "l'homme de paille" de Mr Dissaux au sein de la section.

 

Mon échec c'est, après sept années d'efforts, avec mes collègues du Conseil municipal et les camarades de la section socialiste, d'assister impuissant à un choix qui mène la gauche à une défaite annoncée, et dont les Airois seront les victimes, pendant au moins six ans.