De la finance à New-York au déllitement de l'URSS

L'avion, Poutine, l'Amérique...et moi

Marc Dugain

éditions Albin Michel

 

La première partie du roman se déroule à New-York. Un "golden boy" y gagne beaucoup d'argent jusqu'à ce que son entreprise l'envoie en Suisse pour y gagner encore plus d'argent en profitant du démantèlement de l'économie soviétique.

Et l'amour dans tout ça ?

 

"Que l'industrie numérique américaine se soit développée sur les bases de la transparence et sur le refus de la vie privée n'est pas surprenant."

"la finance déconnectée de l'économie réelle  explosait dans un vaste jeu qui consistait à faire passer de l'argent d'une poche à l'autre sans aucune création de valeur."

"la condition pour être sain d'esprit c'est d'être contredit par les autres."

"ce fut un jeu d'enfant de fasciner ces masses facilement manipulables en leur promettant une inaccessible prospérité dans un asservissement égalitaire"

"plus on monte haut dans les organisations, plus on concentre les pervers, les plus aptes à progresser par la manipulation et les coups bas."

"En France, qu'est-ce que les socialistes ont fait en dix ans ? Deux ou trois petites choses spectaculaires, mais pour le reste ils ont gommé quelques aspérités de l'économie pour la rendre plus acceptable par le peuple.

"D'un autre côté ,a-t-on le modèle d'un pays communiste qui n'ait pas dérivé en dictature meurtrière tout en appauvrissant considérablement ceux qu'il était censé servir ?"

"Poutine, on aurait dit le fantôme sorti des sous-sols de la Tchéka du temps de la terreur stalinienne."

"la guerre a été de tout temps le meilleur remède pour masque l'incurie et la corruption."

"si j'avais l'âge, je serais parti me battre aux côtés des Ukrainiens, pour la simple raison qu'on ne peut pas laisser la monstruosité, le mensonge et tout ce qui fait la négation de l'être humain prospérer."