30/09/2005
Pourquoi tant de haine
Pourquoi tant de haine ?
Le matin mon horoscope me promettait une journée favorable...
Avant la réunion, mon camarade, collègue et ami Philippe m'avait mis en garde : "plus les élections vont approcher, plus ils vont t'attaquer"...
Normalement c'est le challenger qui attaque le tenant du titre, pas l'inverse...
Quel intérêt pour le Maire de revenir sur le problème du financement de la "fête de l'andouille", qui n'est pas à son avantage et ne servira pas sa gloire ?
Pour annoncer qu'il capitule en "rase campagne" et reconnaître ainsi qu'il était dans son tort ?
Pour que la presse "remette le couvert" sur la question ?
Quel avantage de m'agresser verbalement publiquement, en me niant le droit de répondre à ses attaques ? Quel image publique donne-t-il de lui ?
Non, vraiment, pas son intérêt...
Peut-être cela était il indispensable pour réconforter ses partisans ?
Peut-être voulait il se poser en victime, alors qu'il est le coupable ?
Je n'avais pourtant porté aucune accusation ni attaque personnelle, même pas saisi le Tribunal administratif, simplement posé la question qui dérange : "est-ce légal ?".
Après l'avoir posée deux années de suite en séance publique du conseil municipal, sans effet, j'ai osé la poser au sous-préfet et à la chambre régionale des comptes.
Le plus "amusant" est que le sous-préfet ne m'a pas encore répondu.
Je suppose qu'il a du être particulièrement ferme et clair avec le Maire...
Mais il n'a pas du l'être assez pour me dispenser d'avoir à reprendre la "guérilla" juridique pour le respect des droits des élus minoritaires.
Et puis, les "agents de surveillance de la voie publique" portent toujours l'uniforme "police municipale", mais là, c'est la presse qui a posé le problème, pas moi !
N'est-il donc pas possible de s'occuper de politique locale, en apportant des réponses, éventuellement différentes, aux problèmes concrets des gens, sans attaques personnelles ?
Conseil municipal hier soir.
Le matin mon horoscope me promettait une journée favorable...
Avant la réunion, mon camarade, collègue et ami Philippe m'avait mis en garde : "plus les élections vont approcher, plus ils vont t'attaquer"...
Normalement c'est le challenger qui attaque le tenant du titre, pas l'inverse...
Quel intérêt pour le Maire de revenir sur le problème du financement de la "fête de l'andouille", qui n'est pas à son avantage et ne servira pas sa gloire ?
Pour annoncer qu'il capitule en "rase campagne" et reconnaître ainsi qu'il était dans son tort ?
Pour que la presse "remette le couvert" sur la question ?
Quel avantage de m'agresser verbalement publiquement, en me niant le droit de répondre à ses attaques ? Quel image publique donne-t-il de lui ?
Non, vraiment, pas son intérêt...
Peut-être cela était il indispensable pour réconforter ses partisans ?
Peut-être voulait il se poser en victime, alors qu'il est le coupable ?
Je n'avais pourtant porté aucune accusation ni attaque personnelle, même pas saisi le Tribunal administratif, simplement posé la question qui dérange : "est-ce légal ?".
Après l'avoir posée deux années de suite en séance publique du conseil municipal, sans effet, j'ai osé la poser au sous-préfet et à la chambre régionale des comptes.
Le plus "amusant" est que le sous-préfet ne m'a pas encore répondu.
Je suppose qu'il a du être particulièrement ferme et clair avec le Maire...
Mais il n'a pas du l'être assez pour me dispenser d'avoir à reprendre la "guérilla" juridique pour le respect des droits des élus minoritaires.
Et puis, les "agents de surveillance de la voie publique" portent toujours l'uniforme "police municipale", mais là, c'est la presse qui a posé le problème, pas moi !
N'est-il donc pas possible de s'occuper de politique locale, en apportant des réponses, éventuellement différentes, aux problèmes concrets des gens, sans attaques personnelles ?
09:39 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)
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