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20/12/2007

Réponse non expurgée

Juste une mise au point !

 

 

Faut-il répondre à la bêtise et à la méchanceté ?

 

Non disent les sages, car elles sont insondables.

 

"Qui ne dit mot consent" répond la tradition.

 

Concernant l'agression par voie de presse à laquelle s'est livré Mr Valentin à mon encontre la semaine dernière, les lecteurs de l'Echo de la Lys n'auraient-ils pas droit à une "mise au point" ?

 

 

1) "Droit de réponse"

 

Je ne sais pas à quelle réponse ce monsieur à droit à mon égard, car je ne me suis pas adressé à lui, ni ne l'ai jamais mis publiquement en cause (en privé non plus : ce n'est pas la peine : mes ami(e)s airois(es) le connaissent).

 

Il y a quelques années Mr Valentin m'avait demandé de lui garantir une place dans les cinq premiers de la future liste de gauche,  pour les municipales, avec une place d'adjoint en cas de victoire. J'ai, alors, tenté de lui expliquer que je n'étais pas un distributeur de postes et que des décisions de ce genre devaient se prendre collectivement.

 

Depuis il se répand en jurant "avoir ma peau".

 

Heureusement pour moi, j'ai autre chose à faire dans la vie que de me préoccuper de la haine dont me poursuit ce monsieur.

 

 

2) Le blog

 

Si Monsieur Valentin savait un tant soit peu de quoi il parle, il saurait qu'un blog, c'est gratuit, pour moi (blogjfv.hautetfort.com), pour la collégiale (collegiale.free.fr), pour vous, et pour lui s'il savait comment ça marche.

 

La seule chose qu'il me faut payer, depuis quelques semaines, c'est le "modérateur de commentaires" que j'ai du me résoudre à mettre en place pour endiguer le flot d'insultes envoyées par Mr Valentin et ses amis.

 

 

3) Bruxelles

 

Qui peut être assez stupide pour tenter de faire croire aux lecteurs de l'Echo que j'habite Paris tout en travaillant à Bruxelles ?  Pourquoi ? Pour faire de la publicité pour le TGV ?

 

La vérité est plus simple : pendant presque 20 ans, sous l'autorité du Président Roland Huguet, j'ai été le "correspondant du Conseil général du Pas-de-Calais" auprès des institutions européennes. De par ma fonction, je faisais la navette entre Bruxelles (les institutions européennes) et le département du Pas-de-Calais.

 

La différence, c'est la décoration de mon bureau de Bruxelles faite d'images du Pas-de-Calais, en particulier d'Aire-sur-la-Lys (collégiale, baillage, hôtel de ville etc.) alors que l'inverse n'est pas vrai dans ma maison d'Aire-sur-la-Lys.

 

J'espérais, à 60 ans, contribuer à faire appliquer dans notre ville les propositions que nous avons faites, nous les élu(e)s de "Changez d'Aire",  pendant les sept années de notre mandat municipal.

 

Les responsables de la fédération départementale du PS en ont décidé autrement : dommage pour les Airoises et les Airois, tant pis pour moi !

 

 

4) Sérénité

 

J'ai connu des jours, des mois, des années, de sérénité au sein de la section socialiste airoise. En particulier en l'absence de Mr Valentin, mis à la porte par la responsable de l'époque, ma regrettée amie Odette Selosse qui lui avait donné l'ordre de ne plus remettre les pieds à nos réunions. Depuis il est revenu et d'autres sont partis.

 

Après notre départ collectif, je crains que la sérénité de la section socialiste airoise ne ressemble à celle des cimetières.

 

En cinq ans, j'ai fait venir dans notre petite ville, pour des débats publics : Michel Rocard, Jack Lang, Daniel Percheron (Président de la Région), Roland Huguet (qui était à l'époque le Président du Département), trois député(e)s européens socialistes du Pas-de-Calais (Danielle Darras, Jean-Louis Cottigny et Marie-Noëlle Lienneman), Michel Delebarre, Député-maire de Dunkerque, le Président du Groupe socialiste européen, le Président du PS belge, et pour terminer le Directeur de cabinet de François Hollande et le "porte-parole" de Ségolène Royal. Je mesure aujourd'hui à quel point cette averse d'intelligences pouvait chagriner les petits esprits. 

 

 

 

5) Minorité ?

 

 

Autre mensonge de Mr Valentin : contrairement à ce qu'il prétend,  je n'ai jamais été mis en minorité par la section socialiste.

 

Nous sommes partis non pas parce que nous aurions été minoritaires, mais parce qu'après les beaux discours électoraux sur la "démocratie participative", notre avis n'était même pas demandé, surtout pas par un vote !

 

J'ai déjà indiqué,  à de nombreuses reprises, que j'avais voté, avec la majorité de la section, comme mon ami Jean-Claude Wident, en faveur d'une union de la section socialiste avec Mr Dissaux et ses amis, qui n'en voulaient pas ! L'union n'est pas la soumission. Je suis marié depuis bientôt 40 ans et mon expérience me dit qu'il n'y a pas d'union heureuse, donc durable, dans la soumission (sauf réciproque ?).

 

 

En guise de conclusion

 

 

Je laisse chacun(e) juger de nos "hauteurs de vues" respectives. Je ne tremble pas à l'idée de la comparaison. Je plains ceux qui ont pris Mr Valentin comme allié et comme instrument politique.

 

07:30 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)

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