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29/03/2010

tourisme de masse

Aéroport de Ténériffe Sud. Les avions "Thomas Cook" règnent en maîtres. Quelques avions de compagnies "low cost". Pourtant le vol Ibéria n'a rien à leur envier, au moins en classe "économique" : sièges rapprochés au point de ne pas pouvoir y caser les jambes, et le moindre verre d'eau est payable "cash".

Le hall d'arrivée est le domaine des "tours operators" : 10 ou 15 à la file, à agiter leurs paneaux sous le nez des arrivants hébétés.

L'aéroport est loin de la capitale de l'île, mais prôche d'un monstre urbanistique qui rassemble un maximum de béton en un minimum de place, sans plan d'ensemble de l'urbanisme : le bord de mer est surchargé sans harmonie, la montagne, qui pourrait évoquer "Table Mountain" du Cap, est totalement mitée de lotissements.

Une conclusion : ne jamais laisser la seule loi du profit s'emparer de l'urbanisme. Devant l'ampleur de la catastrophe des mesures ont été prises pour préserver le reste de l'île, et les autres îles de l'archipel.

Cet endroit est à conseillé à celles et à ceux qui aiment s'entasser, et apercevoir la mer, au mieux, sur la pointe des pieds, en penchant la tête à leur balcon.

Avantages, quand même : il fait déjà assez beau pour profiter de la piscine, et le prix de groupe dépasse à peine le prix d'une nuit à l'hotel Ibis de Strasbourg...

16:02 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : voyages

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