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21/12/2005

La Droite reste la Droite

Conseil municipal hier soir,
sur les tarifs, la Droite reste la Droite

 

 

Le Maire n'était pas décidé à répondre aux escarmouches hier soir, ni venant de Gérard Delbreuve (un million et demi d'euros pour la réfection des rues du Bourg et Saint Pierre, c'est de la circulation, ou c'est de l'urbanisme ?), ni venant de ma part.
Volonté ou fatigue ?
Pour le centre de loisirs les tarifs sont modulés en fonction du "coefficient familial" de la Caisse d'allocations familiales, mais pas question de reprendre le même système pour les autres activités, malgré l'intervention de Véronique. Pour le Maire, et sa majorité, silencieuse, tout comme "l'opposition interne" :
- de toutes façons, "ces familles là" ne vont pas à l'école de musique (ni probablement aux autres activités...) ;
- si certaines veulent participer, elles peuvent demander un "rabais", qui sera étudié au cas par cas ;
- si c'est cher, ça prouve que c'est "de qualité".
La Droite reste la Droite !

 

Question de détail, sans réponse :
Pour les tarifs de 3 activités les habitants de la communauté de communes sont considérés comme Airois, pour 3 autres comme extérieurs.
Il semble qu'il s'agisse simplement de la reconduction, chaque année, sans savoir pourquoi,  de pratiques anciennes dont tout le monde a oublié la raison.

11:26 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)

16/12/2005

Si la gauche savait


Si la gauche savait
Michel Rocard
entretiens avec Georges-Marc Benamou
éditions Robert Laffont

 

Un vrai livre d'entretiens. C'est simple comme du langage parlé, mais clair, puisque les "guignols" se moquent de la façon dont MR mange ses mots. Là, comme c'est écrit, on comprend tout.
Bien sûr,  comme toujours dans les "mémoires" l'invité se donne la vedette. L'autojustification frise parfois l'autoglorification. C'est probablement la loi du genre.
Tout comme les "coups de patte" à l'égard de quelques uns. Bien sûr Mitterrand est servi, mais pas trop, avec une certaine révérence. Sont particulièrement visés Chevènement et le CERES ainsi que Fabius crédité de la palme du cynisme et fusillé dans sa prétention d'"économiste". La position prise par celui-ci sur le référendum européen n'est probablement pas étrangère à cette sévérité.
De bons souvenirs, revivifiés,  pour ceux qui sont passés par le PSU. Une bonne leçon de politique pour tout le monde, avec un "épilogue" d'une tristesse effroyable : "la jouissance de gratifier, jouissance de retirer, jouissance d'humilier, c'est la jouissance de 95% des professionnels de la politique. Si celui qui en a le goût bénéficie, en plus, d'un bout d'autorité élective, il est dix fois pire que le fonctionnaire obtus qui a besoin de vous empoisonner la vie pour se sentir exister".
Au secours, si c'est vrai. MR se flatte de ne pas appartenir à cette catégorie, dans laquelle il place Clémenceau et Mitterrand, contrairement à Aristide Briand et Pierre Mendès-France.
Après 40 ans de fréquentation des femmes et des hommes politiques, je le trouve bien sévère...et en tous cas ne me reconnaît en aucun cas dans ce portrait. Mais il est vrai que ma "carrière politique" n'a pas été flamboyante...
Un détail également : contrairement à ce que dit MR, Rudolf Scharping n'a pas démissionné du leadership du SPD après une défaite électorale contre Kohl, il a été battu,  par surprise, par une manœuvre de congrès d'Oscar Lafontaine, qui lui même se fera "rouler dans la farine" par Gerhard Schröder au moment de désigner le candidat à la chancellerie !

11:40 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

14/12/2005

Ethiopie / Erythrée



Erythrée / Ethiopie : de nouveau la guerre ?

 

La mission des Nations Unies a constaté des incursions éthiopiennes et érythréennes dans la "zone temporaire de sécurité", renforçant la crainte d'un nouveau conflit armé.

 

L'Erythrée a ordonné au personnel occidental des Nations Unies de quitter le pays, rendant impossible le contrôle de la frontière.
60% des "casques bleus" ont été retirés.

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU brandit la menace de sanctions.

 

La dernière guerre entre les deux pays avait duré deux ans et fait entre 70.000 et 120.000 morts et un million de réfugiés. Un accord de paix avait été signé en décembre 2000, mais l'Ethiopie refuse le tracé décidé par la commission d'arbitrage en 2002.

 

Aucune élection n'a été organisée en Erythrée depuis l'indépendance.
Les récentes élections en Ethiopie sont sujettes à caution, selon la mission d'observation de l'Union européenne et le régime se crispe sur son pouvoir, mettant opposants et journalistes en prison, réprimant les manifestations par des tirs à balles réelles et au moyen de véhicules blindés (50 morts, des centaines de blessés, des milliers d'arrestations).

 

Les deux pays sont pauvres et dépendent largement de l'aide internationale.
Malheureusement l'Histoire montre que la "fuite en avant", vers la guerre, est l'exutoire le plus fréquent des dictateurs qui refusent à leur peuple la liberté.
 

10:28 Publié dans Afrique | Lien permanent | Commentaires (0)

13/12/2005

Glomenghem

Glomenghem : jamais 2 sans trois !


Un article d'un habitant de ce hameau pour se plaindre, cela pourrait être la manifestation d'humeur d'un "râleur", un deuxième qui prend le relais pour aller dans le même sens, cela commence à ressembler à de la grogne.
"Jamais 2 sans 3" dit le proverbe, c'est notre amie Louise qui s'y met et récuse la défense de la municipalité qui tente de mettre les problèmes sur le "dos" du conseil général (mais qui est notre conseillère générale, et que fait-elle pour Aire ?).
Les hameaux airois votent traditionnellement plus à Droite que le bourg, mais nombre des électeurs traditionnels de François-Xavier Bécuwe sont mécontents de l'équipe en place. Les héritiers souffrent de la comparaison !

14:37 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)

12/12/2005

Menus travaux

 

Petits travaux
Juste quelques petits travaux pour rendre la vie des gens plus simple, rien de bien coûteux, des graviers à égaliser, ou à nettoyer, pour rétablir la circulation de l'eau, éviter qu'elle stagne, des bricoles qui pourraient être vite faites,  par un service technique équipé.
Six semaines pour obtenir comme réponse, après relance, que le programme des travaux 2006 sera proposé,  en son temps,  à la commission municipale compétente.
La réponse aurait-elle été la même si la demande avait été faite par un élu de la majorité ? Et le délai ?
Quand il s'agit de gravillons devant la porte,  il s'agit de service public, pour lequel les contribuables paient, de service du public, pour lequel les citoyens votent.
Pas étonnant que le mécontentement se diffuse.

 

 

08:04 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)