30/10/2010
Arrivée à Lima
Dans n'importe quelle ville du monde, un vendredi soir à 18 heures, avant un "pont" de trois jours, la circulation automobile se bloque.
A Lima, ville de 9 millions d'habitants, sans métro, sans RER, sans tramways...
Des bus bariolés, de toutes tailles, des camions énormes qui se rendent au port. Et beaucoup d'automobiles, essentiellement japonaises et coréennes. Payées probablement grâce à des travaux ne correspondant pas à l'économie officielle.
L'exode rural a été massif depuis trente ans. Il faut au moins deux heures chaque jour, dans chaque sens, aux "banlieusards" pour venir travailler depuis leur habitation qui n'a pas toujours l'eau courante et l'electricité.
Entre l'aéroport et l'hôtel, coincé dans les embouteillages, j'ai vu un urbanisme semblable au notre, avec périphéries commerciales. Je n'ai pas vu de bidonvilles. Je n'ai pas vu de mendiants aux feus rouges.
Debout (ou assis dans des avions) depuis 24 heures, j'arrête là, d'autant que le reveil est fixé à 3h30 demain matin...
04:10 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Je vois que tu es un vrai "globe-trotter".
Écrit par : Maïténa | 30/10/2010
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