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26/10/2005

Papy lofts

"Papy lofts" : l'expérience des béguinages

Le Conseil général de notre département a lancé un programme expérimental de 7 "béguinages", bénéficiant d'un soutien financier.
Il s'agit d'îlots d'habitations sécurisées, protégées, adaptées à la population âgée, avec un service de personnel de proximité pour répondre aux besoins. Des activités sont proposées.
Pourquoi pas dans notre canton ?

18:40 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)

Les vide greniers menacés

Les "vide-greniers" menacés

 

Les mauvais coups gouvernementaux se font souvent l'été, comme cette Loi,  sortie pendant la torpeur estivale,  qui limite sévèrement la participation des non professionnels aux "vide-greniers" qui accompagnent nos Ducasses :
- interdiction de participer à plus de deux vide-greniers par an ;
- obligation d'habiter sur le territoire de la commune.

 

18:38 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)

Emplois : le compte n'y est pas

EMPLOIS : LE COMPTE N'Y EST PAS !
L'emploi, est, à juste titre,  la première préoccupation des habitant(e)s de notre canton, pour eux mêmes, pour leurs enfants et/ou leurs petits enfants.
Dans l'Audomarois,  le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté de 6% par rapport à l'année dernière, la progression la plus importante du département. L'augmentation est de 36,4% pour les jeunes.
L'Audomarois compte 2.000 jeunes de moins de 25 ans demandeurs d'emplois.
35% des demandeurs d'emplois ont moins de 25 ans.

 

Arc international va supprimer 2659 emplois d'ici 2008. Les syndicats avancent le chiffre de 4.000 postes supprimés. La sidérurgie supprime également de nombreux emplois.
Logidis ne prend plus à Aire que la moitié des m2 prévus et se concentre sur les produits qui doivent être gardés en réfrigération.

 

Cette situation de l'emploi va de pair avec une diminution du pouvoir d'achat, même pour celles et ceux qui ont du travail.
Ce sont 800 emplois qu'il faudrait créer chaque année, dont 600 devraient venir de l'extérieur. Nous en sommes loin !

 

Nous sommes loin du temps où le gouvernement dirigé par Lionel Jospin créait deux millions d'emplois dans notre pays.
Nous sommes loin de l'exemple social-démocrate suédois qui parvient à la fois à créer des emplois et de la richesse économique tout en assurant un haut niveau de protection sociale.

 

Face à la situation,  les décisions gouvernementales ne sont pas à la hauteur
La  "rallonge" étatique se monte à trois millions d'euros, soit l'équivalent d'un rond-point routier.
La plate forme multimodale de l'AA, les zones d'Aire, Leulinghem, Ecques et Fauquembergues devront se partager une "enveloppe" de 2,5 millions d'euros. C'est le Préfet qui fera la répartition entre les zones.

 

Cette somme ne saurait suffire pour répondre aux besoins locaux et à l'inquiétante évolution du taux de chômage.
Le gouvernement a failli à ses engagements. Il a fait le minimum du minimum.
Comment ne pas se sentir les "parents pauvres" de la solidarité nationale ?
Comment ne pas demander à bénéficier du même traitement que les autres territoires rencontrant les mêmes problèmes.

 

Le Conseil général, à majorité socialiste,  doit verser 9 millions d'euros et la Région, à majorité de gauche,  10.
Les 5 intercommunalités devront trouver 26 millions d'euros.
Comment la Communauté de Communes du pays d'Aire pourra trouver de l'argent alors qu'elle s'est endettée pour 40 ans pour la zone de Saint Martin ?

 

Les élu(e)s, y compris les élu(e)s locaux, doivent  inscrire l'emploi comme priorité en tête de leur agenda.
C'est que font les élus socialistes.
Nous savons bien qu'il n'y a pas de recette miracle, mais nous pouvons, nous devons agir, y compris au niveau local.

 

C'est pourquoi, nous proposons :

 

- donner la priorité à l'éducation, à l'instruction, au scolaire et au parascolaire, pour que nos enfants et petits enfants soient le mieux armé(e)s possibles dans l'avenir, dans un monde très compétitif. Nous devons avoir des écoles, des collèges, des lycées "de l'excellence" pour leur donner les meilleures chances ;

 

- de redynamiser l'économie en soutenant la demande de notre député,  Michel Lefait,  de créer une "zone franche", avec exonération de taxes, pour favoriser l'implantation d'entreprises, dans l'Audomarois, incluant notre canton ;

 

- d'attirer des entreprises nouvelles en donnant un meilleur accès à notre territoire : en particulier une meilleure liaison vers le Nord, vers la Belgique et vers Lille.
Pour cela il faut réaliser le 2 fois 2 voies de la RN 42 jusqu'à Hazebrouck et aménager la RN 43.
Il faut également  nous battre pour que le tracé ouest de l'A 24, (Amiens / Belgique passant à proximité de notre ville),  soit choisi en décembre de l'année prochaine ;

 

- d'élaborer, dans le cadre du schéma régional,  une stratégie de développement économique,  en donnant  à "Saint Omer Développement" les moyens de prospecter et de "vendre" nos zones d'activités

 

- de travailler avec tous ceux qui,  comme nous, se trouvent coincer entre le littoral et l'ancien bassin minier.

18:34 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)

12/10/2005

Agir pour l'emploi

Agir pour l'emploi


L'emploi, est, à juste titre, la première préoccupation des Airoises et des Airois, pour eux mêmes, pour leurs enfants et/ou leurs petits enfants.
Dans l'Audomarois, le nombre de demandeurs d'emploi a augmenté de 6% par rapport à l'année dernière. L'augmentation est de 18% pour les jeunes.
Arc international et la sidérurgie suppriment de nombreux emplois.
Logidis ne prend plus à Aire que la moitié des m2 prévus et se concentre sur les produits qui doivent être gardés en réfrigération.
Nous sommes loin du temps où le gouvernement dirigé par Lionel Jospin créait deux millions d'emplois dans notre pays.
Nous sommes loin de l'exemple social-démocrate suédois qui parvient à la fois à créer des emplois et de la richesse économique tout en assurant un haut niveau de protection sociale.
Les élu(e)s, y compris les élu(e)s locaux, doivent inscrire l'emploi comme priorité en tête de leur agenda.
Nous savons bien qu'il n'y a pas de recette miracle, mais nous pouvons agir, y compris au niveau local.
C'est pourquoi, nous proposons :
- donner la priorité à l'éducation, à l'instruction, au scolaire et au parascolaire, pour que nos enfants et petits enfants soient le mieux armé(e)s possibles dans l'avenir, dans un monde très compétitif. La Droite a supprimé les "emplois jeunes", mais il nous faut utiliser toutes les possibilités allant dans ce sens ;
- d'attirer des entreprises nouvelles en désenclavant Aire. Pour cela il faut nous battre pour que le tracé ouest de l'A 24, (Amiens / Belgique passant à proximité de notre ville), soit choisi en décembre de l'année prochaine.
- de redynamiser l'économie en soutenant la demande du député Michel Lefait de créer une "zone franche", avec exonération de taxes, dans l'Audomarois, incluant notre ville ;
- d'élaborer, dans le cadre du schéma régional, une stratégie de développement économique, avec le recrutement de professionnels spécialisés, pour soutenir l'action des élus, en ayant une vision plus large que notre seule Communauté de communes.

les élus de Changez d'Aire :
Yves Ballanfat, Philippe Colle, Véronique Decool, Françoise Hubert, Claudine Marien, Jean-François Vallin

14:46 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)

07/10/2005

Gérer légalement la fête de l'andouille

Comment organiser la fête de l'andouille dans la légalité ?

 

Il est tout à fait possible d'organiser la fête de l'andouille dans la légalité.
Les règles de la comptabilité publique permettent de gérer simplement et rapidement ce type de situation.
Le receveur municipal, chargé de gérer l'argent des contribuables, peut le faire sans problème.
Il suffit d'utiliser une régie d'avances qui fonctionne avec un compte de dépôts au Trésor public. Beaucoup de communes le font. La commune verse une avance au régisseur. Ce dernier dispose d'un chéquier avec lequel il règle les dépenses d'organisation, les cachets des artistes, etc....dans la limite de l'avance, bien entendu. Une fois la fête terminée, l'ensemble de l'opération est régularisé budgétairement, et le solde de l'avance est reversé dans la caisse de la commune.
Tout est transparent. Les fournisseurs et les artistes sont réglés rapidement. Les factures figurent dans le compte de gestion.
Le délai moyen de paiement, entre la date d'arrivée d'un mandat administratif dans une trésorerie et la date de virement au fournisseur est de 5 jours, pour une dépense ordinaire. Avec une régie d'avance, le régisseur peut faire un chèque dès réception de la facture.
Il est donc faux de parler de lenteurs administratives.
Il suffit d'utiliser intelligemment les règles de la comptabilité publique !

 

 

 

10:16 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (0)