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02/10/2011

Secrets des pyramides

Les pyramides de Napoléon

 

William Dietrich

 

Prix « Pulitzer »

 

Pocket n° 14101

 

 

1798 : Invasion de l’Egypte par Napoléon.

William Dietrich, écrivain américain, invente un héros,  américain qui accompagne Napoléon, comme 177 savants.

 

Ce roman mêle l’histoire, politique et militaire, informations sur l’Egypte ancienne et spéculations ésotériques basées sur les traditions hermétiques, « nommées ainsi d’après le Dieu Hermès, version grecque du Dieu égyptien Thot », basées sur les mathématiques.

Où se trouve le livre de Thot, qui contient toutes les réponses aux secrets de la vie ?

La réponse, à la fin du livre, est inattendue. Pour une fois, ce n’est pas Rennes-le-Château !

 

Hérodote avait déjà affirmé que la grande pyramide de Gizeh était autre chose qu’une tombe. Les Arabes, au Ixe siècle ne trouvèrent aucune momie, ni aucun trésor. Mais elle est construite sur le principe du fameux « nombre d’or », bien connu des architectes, ainsi que des peintres de la Renaissance, et le « pi », bien connu des mathématiciens.

« Une femme recèle plus de mystère que n’importe quelle pyramide ».

 

Un parfait scénario de film d’action.

 

 

« Ce qui différencie notre espèce des autres n’est pas seulement ce que les hommes font subir aux autres hommes, mais la façon dont ils s’en justifient inlassablement »

 

« La raison a créé un vide et suscite le besoin de s’émerveiller. La persécution religieuse a généré une soif de spiritualité »

 

« La croyance commune à toutes les religions depuis dix mille ans : à savoir qu’il existe des mondes par-delà ceux que nous voyons »

 

« Les anciennes religions ne meurent jamais complètement, elles sont absorbées par les nouvelles »

 

« Personne ne savait en quoi Napoléon croyait, et encore moins lui-même, mais il était persuadé de l’utilité de la religion pour contrôler les masses »

 

« Le Corse s’est rendu populaire auprès du Directoire parce que ses batailles étaient sources de richesses »

 

« Je juge le niveau d’intelligence non pas à ce que l’on sait, mais à ce que l’on veut savoir »

08:34 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature

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