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31/07/2012

Tessa, petit polar du Monde

Cet été, Le Monde propose chaque semaine un petit polar écrit par un lauréat du "prix SNCF du polar". Celui de cette semaine, Tessa, de Marc Villard, connu également pour ses BD, raconte un braquage de banque raté, dont un des protagoniste, blessé, se réfugie dans le débarras d'une photographe prénommée Tessa. Les gares d'Avignon servent de lieux de rencontre. Le couple improbable va-t'il se trouver ?

09:22 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature

30/07/2012

Roumanie : pas de vainqueurs

Difficile chez nous d'imaginer un referendum pour ou contre le départ du President de la République. Ce referendum a eu lieu sous forme d'élection présidentielle. Et nous savons que le President choisi est là pour cinq ans, éventuellement en cohabitation avec un Parlement et un gouvernement qui lui sont hostiles. La Roumanie vit une cohabitation difficile, et la Constitution roumaine prévoit, sur proposition du Parlement, un referendum de destitution, tel qu'il a eu lieu hier. 87% des votants se sont prononcés pour le départ du President. Mais les abstentionnistes étaient les plus nombreux : 54% des inscrits. Ce qui montre un certain désintérêt pour les jeux politiciens. Le President reste donc en place, mais il est affaibli. Le gouvernement reste en place, lui aussi affaibli, puisqu'il n'a pas gagné son bras de fer contre le President. Il y aura donc cohabitation jusqu'aux prochaines élections. Pour la crédibilité du pays, il est indispensable que cette cohabitation se passe dans un respect réciproque , qui sera le signe de respect à l'égard de la démocratie et des citoyens.

13:17 Publié dans EUROPE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roumanie, europe

29/07/2012

J'ai testé l'aviron

Une semaine de stage d'aviron avec deux de mes petits fils adolescents. Tout le monde dit que l'aviron est un sport complet. Je confirme : très complet : des courbatures partout ! Bras, jambes, épaules, pectoraux, abdominaux... Sans parler des ampoules aux mains, et des coups de soleil La galère idéale pour masochistes ! Sans en avoir l'air, l'aviron est un sport technique : tourner les manettes au bon moment pour faire tomber les " pelles" dans l'eau, bien pousser sur les jambes avant de tirer sur les bras, ne pas sortir les pelles de l'eau trop tôt. Tout ça dans le rythme, avec trois autres rameurs jeunes et dynamiques qui veulent prouver leur vitalité... Mais quel plaisir de voir la cote depuis la mer, sans être sur un bateau à moteur. Les sensations ne sont également pas les mêmes que sur un voilier. Ramer seul permet d'aller à son rythme. Avec un inconvénient : il n'y a pas de rétroviseur et s'approcher trop près des côtes entraine un rappel à l'ordre immédiat des nombreux pêcheurs à la ligne. Conclusion : content de l'avoir fait, d'avoir tenu la semaine, regret de ne pas avoir appris plus jeune.

07:37 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : loisirs

28/07/2012

La mort de Tusitala

De Nakajima Atsushi Éditions Anacharsis Tusitala , c'est "Celui qui raconte des histoires", le grand romancier Robert Louis Stevenson, ainsi surnommé par les habitants de Samoa, où il a passé les cinq dernières années de sa courte vie. Avec l'argent gagné grâce au succès de "L'île au trésor ", il s'est fait bâtir une superbe maison en bois, au milieu d'une grande propriété boisée, dans cette lointaine île du Pacifique, dont elle constitue aujourd'hui la seule attraction touristique. En la visitant, le vendredi 20 juillet, j'étais loin de me douter que le même jour Le Monde publiait une page presque entière consacrée aux derniers romans de Stevenson, écrit à Vailima, et qui viennent d'être réédités dans la collection Bouquins. Sur la photo Stevenson semble maladif : il l'était, et crachait le sang, après avoir souffert d'une santé fragile toute sa vie. Le roman de Nakajima Atsushi raconte la vie de Robertson / Tusitala à Samoa. Sa lutte contre les puissances coloniales, dont les consuls sont les véritables régents. Ses luttes contres les injustices, qui le rendent si populaires parmi les autochtones, et si mal vu des autres Européens, "ramassis de fonctionnaires paresseux". Roman dans lequel il est fortement question des affres de la création littéraire. " Ecrire comme on voyage" Beaucoup de choses réunissent les deux écrivains : leur mort prématurée, leur goût pour " les mers du Sud... "Ma femme, dure comme l'acier et droite comme une épée" "Plutôt que des observations rigoureuses, on te demande d'écrire de belles histoires, amusantes et brillantes" "Il y avait plus puissant que les trois consuls réunis, et c'était la Compagnie de commerce et de plantation des mers du Sud, que géraient les Allemands" "Il était entré en écriture comme on entre en religion et sa dévotion ne souffrit aucun relâchement : pas un jour ou presque sans une ligne" " Le regard de l'écrivain est un regard qui choisit"

10:36 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature

27/07/2012

L'enterrement de mémé

Adieu Berthe

 

L'enterrement de mémé

 

De et avec Bruno Podalydès

 

Avec Denis Podalydès, Valérie Lemercier, Isabelle Candelier

 

 

Selon Libération, qui le classe dans son tiercé gagnant, ce film est un "übergag structurel".

Il s'agit donc d'un film intellectuel, farfelu, absurde, désuet, mélancolique.

 

Denis Podalydès campe le personnage, lunaire,  d'un homme indécis, entre son épouse et sa maîtresse.

Le décès de la mémé, dont il a la responsabilité d'organiser les funérailles, souligne non seulement son indécision pathologique, mais également son complexe de "Peter Pan", ce qui n'est pas incompatible : l'enfant refuse de s'effacer devant l'adulte.

 

Scénario un peu mince pour faire un film qui n'est pourtant pas sans humour, mais qui ne provoque aucun rire et peu d'émotions.

 

 

08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma