Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/05/2012

La guerre froide est terminée

Affaires étrangères

 

Rencontre avec l'Ambassadeur de l'UE aux USA

 

Dans le domaine des Affaires étrangères, les progrès du Traité de Lisbonne sont intégrés. La coopération est intense. La Haute Représentante joue un rôle leader. L'Iran est la première priorité.

Les Américains considèrent que l'UE doit se consacrer en priorité à son voisinage, plus spécifiquement les Balkans et le Maghreb.

 

"State Department"

 

Iran : difficulté américaine à comprendre une théocratie. Se félicite de l'harmonie des positions.  Les  autorités iraniennes semblent avoir été surprises de la rapidité de la  détérioration de l'économie du fait des sanctions.

C''est l'avenir de la non prolifération nucléaire qui est posé, dans un environnement où elle n'est guère respectée.

Les USA attendent des concessions qui ne soient pas réversibles.

 

Russie : le partenariat est sans précédent, comme le prouve l'Afghanistan et l'intégration dans l'OMC.

La Russie n'est pas un problème. Il ne faut pas l'isoler.

Il y a accord pour ne pas faire de la Syrie un nouvel Irak.

Des changements sont à prévoir : une nouvelle classe moyenne émerge, y compris en province, avec de nouvelles aspirations.

 

Ukraine : la corruption y est pire qu'en Russie. L'UE doit offrir une alternative au marché russe.

 

Sénateur Cardin :

 

Syrie : "c'est la merde !" Qui va prendre le contrôle ?

Egypte : la question est sérieusement posée du prochain versement américain dans deux mois.

Russie : pas de guerre froide.

Afghanistan : guerre tribale.

 

Sécurité / Défense (dans le cadre du "Transatlantic Policy Network)

 

Depuis la fin des idéologies, quelles sont les menaces ? Quels sont les intérêts géopolitiques de chacun ? 

Comment faire face aux crises ? Quel sera le prochain "printemps arabe ?"

Quelle est la capacité de l'UE à gérer des crises ?

La réduction des budgets rend obligatoire la coopération.

Les industries d'armement souhaitent une harmonisation, afin de produire en plus grande séries et donc à coûts réduits.

Quand il n'y a pas de capacité, il n'y a pas de crédibilité et donc aucune stratégie possible.

Les Américains considèrent que "l'Europe ne remplit pas ses obligations" en ayant un niveau de dépenses insuffisant pour se défendre de façon adéquate.

Les commentaires sont fermés.