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14/08/2012

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Couverture de VSD et de quelques autres, photo en pages intérieures de Paris Match : tout le monde peut avoir une idée plus précise des anatomies du Président de la République et de sa compagne.

 

Qui imaginerait Charles et Yvonne dans cette tenue ? Claude peut-être, mais certainement pas Georges ! Valérie a été le premier à nous montrer ses jambes, mais je n’ai pas de souvenir d’Aneymone en maillot de bains. François M s’est démarqué de son prédécesseur, déjà, et les mères de ses enfants ne se déshabillaient pas en public. Pas plus que « maman » à la coiffure laquée qui n’aurait pas résistée au bain, pendant que son mari se ridiculisait avec ses chaussures de villes, portées avec chaussettes, sous son short.

 

Sarko a fait exploser tout cela. Les paparazzis se sont engouffrés dans la brèche : les responsables politiques, surtout élus aux plus hautes fonctions,  sont des « people » comme les autres, probablement garantie de bonnes ventes.

 

D’après Libération, la « first girlfriend » s’est plaint de retrouver partout la photo d’elle en maillot de bains.

 

Les femmes et les hommes politiques savent que leur vie appartient au public, qu’ils l’intègrent, ou non, dans leur « plan médias ».

Leurs conjoint(e), copain, copine doivent savoir que cette règle est extensive.

 

Conclusion : quand on  est Président de la République, ou que l’on vit avec, on sait que, si on va se baigner, une photo sera volée et vendue très chère. Le choix est donc d’aller se baigner, ou non, avec un maillot de bain, ou non, une pièce, ou deux.

Cette photo fera bien moins pour l’ »image » qu’un tweet dévastateur.

 

16:04 Publié dans vie politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique

13/08/2012

Que l'Allemagne ratifie d'abord...

Traité Merkozy : rien ne presse !

 

 

Le Conseil constitutionnel ne voit pas la nécessité de changer la Constitution pour que la France adopte le projet de Traité voulu par Mme Merkel, et accepté par Mr Sarkozy.

 

Mais son équivalent allemand, responsable de la Constitution allemande, pense qu’il faut en passer par là…en Allemagne.

Le processus de ratification, dans le pays de la Chancelière, est donc loin d’être « bouclé ».

Elle a besoin de l’opposition social-démocrate qui a déjà obtenu des mesures allant dans le sens demandé par le nouveau Président français.

Du Chancelier autrichien au Premier ministre italien, la tendance a changé depuis le départ de Sarkozy. L’élection de François Hollande a changé le rapport de forces en faveur de la relance pour la croissance.

 

10:49 Publié dans EUROPE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe

12/08/2012

Quand François 1er faisait venir en France Leonardo da Vinci

Le sang de l’hermine

 

Michèle Barrière

 

Editions JC Lattès

 

 

 

1516 , France et Italie

 

L’historienne de l’alimentation Michèle Barrière, qui s’est fait connaître pour ses intrigues policières liées à la nourriture, nous emmène sur les traces de François 1er, et surtout de Leonard de Vinci, que Quentin du Mesnil, maître d’hôtel à la cour du Roi, et son ami d’enfance, est chargé de ramener en France. Ce qu’il parviendra à faire, non sans péripéties.

Il en profitera pour ramener l’art italien de la table, le raffinement de la renaissance, symbolisé par la fourchette.

 

L’hermine est celle qui accompagne la dame d’un fameux portrait du maître (La dame à l’hermine).

 

Quelques vérités sont rappelées, concernant Marignan (1515) bataille qui n’aurait pas été gagnée sans l’intervention de l’armée vénitienne, « menée par les redoutables cavaliers albanais », en conclusion d’une « expédition hasardeuse ». « 16.000 hommes avaient perdus la vie en quelques heures ».

 

François 1er, « un colosse qui passait plus de temps à la chasse et à courir les filles qu’à étudier les dépêches des ambassadeurs. Mais une volonté farouche de puissance, un sens aigu des opportunités ».

 

Sur Léonard de Vinci, j’ai préféré le livre de Sophie Chauveau.

 

La Renaissance, « grâce à la redécouverte des penseurs et scientifiques de l’Antiquité, il est possible d’exercer son sens critique et battre en brèche les enseignements de Thomas d’Aquin, liant science et foi », c’est également le début de l’imprimerie

 

« L’amour aveugle nait d’un regard »

  

12:44 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, histoire

11/08/2012

Indridason sans Erlendur

La muraille de lave

 

Arnaldur Indridason

 

Mérailié Noir

 

 

Ce livre, publié cette année en France, est sorti en Islande en 2009, probablement écrit en 2008. L’année du grand krach boursier islandais. L’année où des millions d’économies, d’épargnants islandais ou étrangers, en particulier britanniques, se sont envolés.

 

Cette précision est importante, pour bien comprendre que derrière une enquête policière assez classique, qui entremêle plusieurs intrigues, se trouve la dénonciation d’un système spéculatif qui ne pouvait conduire qu’à la catastrophe, y compris morale : paradis fiscaux,  sociétés écrans, spéculation sur le cours des changes des monnaies, promesses de rendements financiers intenables, financés par le surendettement…

« Les dettes des banques sont douze fois supérieures au Produit National Brut ».

« La muraille de lave », est le surnom donné à la Banque centrale islandaise. La muraille de lave, sur la cote islandaise, est l’endroit de tous les périls.

 

Le thème de la pédophilie est également évoqué.

Celui de l’échangisme ne l’est qu’à titre anecdotique.

 

 

« Il ne supportait pas la prétention des films européens. Les films d’art et d’essai dénués de toute intrigue ».

 

« Moins ils en ont dans le pantalon, plus la bagnole est chère »

 

 

15:49 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature

10/08/2012

De Melun à la gloire

Les Kaïra

De et avec Franck Gastambide

Et J.B. Pocthier, Pom Klementieff

Et les apparitions de Katsumi, Eric Cantona, Elie Semoun, François Damien

 

Après la rédemption par le whisky, proposée par Ken Loach, dans « La part des anges », la sortie des galères, et de la misère affective, par le porno.

Pas plus crédible, mais plus hilarant, même si l’humour n’est pas aussi léger que le scénario.

 La "racaille", celle à qui il est plus facile de proposer le "Karcher" que des emplois.

08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma