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09/04/2011

la rivière noire

La rivière noire

 

Arnaldur Indridason

 

Métaillé Noir

 

 

Impossible de parler de littérature nordique, et qui plus est de romans policiers, sans mentionner Arnaldur, fils d'Indrida, dont les romans sont publiés chez Métaillé, puis au "Point" en format de poche.

 

Dans son dernier livre, le commissaire Erlendur est en vacances. Il est évoqué, à peine regretté. C'est son adjointe,  Elinborg, qui mène l'enquête, avec toute les difficultés à concilier vie familiale, les problèmes avec les enfants adolescents, et une vie professionnelle très prenante.

 

Les femmes ont probablement une sensibilité particulière quand il s'agit de trouver l'assassin d'un jeune homme suspect d'utiliser du "Rohypnol", la drogue qui permet d'abuser sexuellement de ses victimes,  contre leur volonté.

Réaction sous l'effet de la drogue ? Vengeance d'une victime ? D'un père ? D'un frère ? Puisqu'"en Islande, quand ils sont condamnés, les violeurs passent en moyenne un an et demi en prison".

Dans la capitale ou dans un petit village perdu, où les gens sont intimement liés depuis plusieurs générations, il fait froid en Islande...

Par deux fois, l'odorat d'Elinborg, cuisinière émérite, quand elle en a le temps, la mettra sur la piste. "Avoir du pif", une expression qui trouve ici tout son sens !

 

 

"Cette méchanceté qui l'habitait et qui coulait au fond de sa conscience telle une rivière noire, profonde, froide et tourmentée."

 

 

08:41 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature

08/04/2011

Sans identité

Sans identité

(Unknow)

 

De Jaume Collet-Serra

 

Avec Liam Neeson, Diane Kruger, Bruno Ganz

 

 

Il a, dès le début, des problèmes de mémoire, ce biologiste incarné par Liam Neeson : il oublie sa mallette,  avec tous ses papiers,  sur le chariot de l'aéroport.

En retournant la chercher, il prend un taxi, conduit par Diane Kruger (crédible ? Moi, je n'ai jamais pris un taxi conduit par un sosie de Diane Kruger !). Son taxi, donc,  a un accident et il se retrouve à l'hôpital.

Puis, c'est sa femme qui perd la mémoire puisqu'elle ne le reconnaît pas ("Unknow" !).

Il ne sait plus où il habite, il est "sans identité" (d'où le titre du film), mais a la désagréable impression qu'"on" veut l'éliminer, mais il n'arrive pas à trouver pourquoi.

Après bien des rebondissements, des actions, des courses poursuites, y compris en voitures (pub pour Mercedes ?), un scénario chargé mais mené à un rythme soutenu, arrive un dénouement totalement inattendu. Crédible ?

 

Si j'ai bien compris :

- Il ne faut pas se fier aux apparences ;

- Les méchants, ce sont les industries agro-alimentaires qui ne veulent pas que les découvertes biologiques profitent à ceux qui ont faim ;

- Les OGM peuvent être utiles si le profit ne guide pas leur utilisation (crédible ?) ;

- Les princes arabes ne sont pas tous réactionnaires ;

- Les terroristes ne sont pas toujours ceux que l'on prend pour tels.

 

Au final, les gentils sont incarnés par une actrice et des acteurs sympathiques : Diane Kruger,  Liam Neeson, Bruno Ganz.

 

 

08:34 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma

07/04/2011

Presque 4.000 !

Le record du nombre des visites a été battu en mars.
Pas le nombre de visiteurs.
Ma déduction est donc que les visiteurs sont revenus plus souvent !
J'en suis heureux.

15:31 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (5)

06/04/2011

pas de marché intérieur sans mesures sociales

IL FAUT REMETTRE UNE BONNE DOSE DE SOCIAL POUR RÉTABLIR LA CONFIANCE DES CITOYENS DANS LE MARCHÉ INTÉRIEUR

 

Le Parlement européen s'est prononcé aujourd'hui à Strasbourg sur un paquet de mesures -  l'acte pour le marché intérieur - destiné à redynamiser le marché unique.

 

Les eurodéputés socialistes et démocrates ont voté ces propositions après avoir obtenu des garanties visant la protection des droits sociaux fondamentaux pour des millions de travailleurs européens.

 

La bataille a été rude avec les conservateurs et les libéraux mais c'est un beau succès.

 

Les socialistes européens oui aux avancées qui seront réalisées pour faciliter la vie des entreprises, stimuler les échanges et la création d'emplois mais elles ne doivent pas aboutir à un recul de la protection sociale ou au dumping social

 

Les citoyens européens ont parfois le sentiment d'avoir été les laissés-pour-compte de ce grand marché qui a surtout bénéficié aux grandes entreprises.

 

Si on veut rétablir la confiance des citoyens, des travailleurs et des consommateurs, il faut remettre une bonne dose de social en Europe.

 

Nous avons tiré les leçons de la libéralisation des services dans l'Union européenne. Les droits sociaux fondamentaux tels que le droit de grève ou le droit de négocier des conventions collectives doivent être respectés. 

 

Il est indispensable de  rappeller  aux Etats membres et à la Commission européenne la nécessité de garantir des services économiques d'intérêt général, y compris des services publics sociaux, de grande qualité et à un coût abordable pour nos citoyens.

 

Il faut sortir ces services publics de la logique pure du marché et éviter la formation d'oligopoles privés dans les secteurs clés tels de la santé, du social ou de la distribution de l'eau par exemple.

15:38 Publié dans EUROPE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe

05/04/2011

les larmes du sexe

Les larmes du sexe

Alex Varenne

Editions « Les humanoïdes associés »

 

Alex Varenne est un des « maîtres » de la BD érotique, à l’égal de Manara, mais tout en noir et blanc.

Dans son dernier ouvrage, « Les larmes du sexe » (« les larmes du sexe sont aussi nobles que les larmes des yeux »),  il livre quelques histoires brèves, ou des dessins plus grands, véritables œuvres d’art, occupant parfois toute la page de cet album grand format. Avec,  comme accompagnement, des textes poétiques, coquins, parfois inspirés de poésies et de chansons bien connues.

 

« Tout commence par le regard. On peut faire l’amour avec les yeux, longtemps » 

« Elle a levé son voile et me regarde avec ses seins »

« Qui a pu dire cette énormité que lorsqu’on a connu une femme, on les a toutes connues ? C’est parce que les femmes sont différentes qu’elles ne nous sont pas indifférentes »

« L’écrin est aussi important que le bijou »

« Vous êtes un élu si vous savez saisir le plaisir du désir »

 

08:37 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bd