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25/02/2011

Last night

Last night

 

De Massy Tadjedin

 

Avec Keira Knightley, Guillaume Canet et Eva Mendès

 

 

Un jeune couple. Lui part, pour son travail avec une collègue à qui il ne déplaît pas. Elle, restée à la maison, tombe sur un ex "french lover" rencontré à Paris.

 

Le film montre, en parallèle, le déroulement de la soirée : ils boivent tous beaucoup ! Pour se donner du courage ou pour oublier leurs serments ?

Qui va succomber ? L'un ? L'autre ? Les deux ? Aucun ?

Cela dure une heure et demie ! Seulement ?

 

A mon avis : peu d'intérêt, sauf pour Keira Knightley, Eva Mendès ou Guillaume Canet, ou les trois selon vos préférences. Êtes-vous certain (e)s que vous ne craqueriez pas ?

 

 

08:24 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma

24/02/2011

l'état du monde 2011

La fin du monde unique

 

50 idées forces pour comprendre

 

L'état du monde 2011

 

Sous la direction de Bertrand Badie et Dominique Vidal

 

Editions La découverte

 

 

Cinquième année de la nouvelle formule qui allie d'une part un site qui reprend tous les articles, pays par pays,  depuis le début des années 80, ce qui permet d'avoir le recul de l'histoire récente,  et d'autre part cinquante articles de fond, de quelques pages chacun, qui expliquent avec concision les enjeux, sous la direction de deux spécialistes des questions internationales,  classés en cinq grand chapitres : nouvelles relations internationales, questions économiques et sociales, sociétés et développement humain, environnement et nouvelles technologies et enjeux régionaux.

 

Le monde unique, auquel certains ont cru après la disparition du communisme, n'est déjà plus, comme le prouve les évènements actuels.

 

Plus que jamais indispensable pour une recherche rapide d'informations en français, et tenter de mieux comprendre le monde actuel, dans toutes ses dimensions.

 

 

 

 

08:10 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

23/02/2011

une vie chinoise

Une vie chinoise

 

1. Le temps du père

 

P Ôtié et Li Kunwu

 

Editions Dargaud

 

 

LA Chine contemporaine à travers la vie du dessinateur Li Kunwu qui raconte, avec humour, qu'il a appris à dessiner en faisant des portraits de Mao pour le besoins de la propagande, "soldat dessinateur". "Ce qui compte avant tout, c'est la profondeur de ton sentiment pour le président. Ton adresse au crayon n'est que secondaire".

P. Ôtié a été le scénariste de l'histoire.

 

Le premier tome va de la prise du pouvoir par Mao (le "père", la référence absolue) jusqu'à la mort de celui-ci. De Xiao Li (petit Li) à Lao Li, en attendant de devenir Li Kunwu.

 

A travers le "Grand bond en avant" puis la "Révolution culturelle" à l'aide du "petit livre rouge" et des jeunes "gardes rouges", les excès de l'idéologie, conduisant à la folie des hommes, et à la famine (entre 5 et 10 millions de morts de faim pour le "Grand bond en avant" ; 17 000 morts et 67 000 blessés pour la "Révolution culturelle"), avant que les "comités révolutionnaires" ne soient chargés de rétablir l'ordre, et 16 millions de "gardes rouges" expédiés à la campagne.

Les fameux "dazibaos" n'étaient pas le fleuron de la libre expression, mais le moyen de propager des ragots et de dénoncer les "ennemis du peuple", dont le père de l'auteur, cadre du parti,  partisan de Deng Xiao Ping, mis en "rééducation".

 

Les dessins en noir et blanc évoquent la peinture au pinceau de l'art et de la calligraphie chinois.

 

 

"Il y a encore à manger. Les patates sont cuites. On ajoute la viande. Ce n'est pas la peine de péter" (Président Mao)

 

09:09 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bd, histoire

22/02/2011

François Mitterrand : l'album

François Mitterrand

 

Florence Pavaux-Drory et Fabien Lecoeuvre

 

Ipanema / les éditions du marque-pages

Avec le soutien de "L'Institut François Mitterrand" et de "la Fondation Jean Jaurès"

 

 

15 ans après le décès de François Mitterrand, l'album absolu pour les mitterrandolâtres.

 

Le texte n'apporte pas grand chose, mais la documentation et la réalisation graphique sont exceptionnelles.

 

Les photos, qui se comptent pas dizaines, sont pourtant souvent inédites ou rares et impeccablement reproduites, mais ce qui fait, avant tout, l'intérêt de l'ouvrage vient de ces fac-similés, reproductions de documents des différentes époques de la vie de François Mitterrand : journaux, manuscrits, notes, documents personnels ou de campagnes électorales.

Tout cela donne un éclairage vivant et personnel.

 

Une surprise toutefois : l'album est imprimé en Chine...

 

 

"Il était interdit de dire du mal des autres et de parler d'argent" (F.M. évoquant son enfance)

 

"L'argent qui corrompt, l'argent qui achète, l'argent qui écrase, l'argent qui tue, l'argent qui ruine, et l'argent qui pourrit jusqu'à la conscience des hommes" (F.M. au congrès d'Epinay)

 

"L'Histoire de France ne connaît pas la prédestination"

 

"En amour comme en politique, François Mitterrand a toujours pratiqué la même stratégie : l'entêtement"

 

"Le socialisme n'est pas un dogme ni une philosophie, moins encore une religion. C'est une méthode" (F.M.)

 

"Les racines poussent vite à qui sait s'arrêter" (F.M.)

 

"Le bonheur, tant qu'il dure, est l'oubli de soi même" (F.M.)

 

"J'avancerai sans jamais me lasser sur le chemin du pluralisme, confrontation des différences dans le respect d'autrui" (F.M.)

08:02 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique

20/02/2011

les femmes du 6ème étage

Les femmes du 6ème étage

De Philippe Le Guay

Avec Sandrine Kimberlain et Fabrice Lucchini

 

Un couple de bourgeois à la vie étriquée se fâche avec la bonne bretonne, dans la famille depuis toujours. Pour la remplacer : une Espagnole.

L’homme, gris et coincé, va découvrir un monde qu’il ignorait, à la fois si proche et tellement étranger, fait de difficultés matérielles,  mais aussi de chaleur humaine.

Comédie sociale qui déclenche le rire, souvent,  et la réflexion sur le racisme social : chacun chez soi et l’argenterie pourra briller !

Le film se déroule dans les années soixante. Aujourd’hui les chambres de bonnes ont été vendues à prix époustouflants et les gens de maison prennent le RER pour venir de leur HLM de banlieue.

Reste l’apologie des amours ancillaires et le rêve éternel de cendrillon.

 

09:58 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma