Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/08/2012

De Melun à la gloire

Les Kaïra

De et avec Franck Gastambide

Et J.B. Pocthier, Pom Klementieff

Et les apparitions de Katsumi, Eric Cantona, Elie Semoun, François Damien

 

Après la rédemption par le whisky, proposée par Ken Loach, dans « La part des anges », la sortie des galères, et de la misère affective, par le porno.

Pas plus crédible, mais plus hilarant, même si l’humour n’est pas aussi léger que le scénario.

 La "racaille", celle à qui il est plus facile de proposer le "Karcher" que des emplois.

08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma

03/08/2012

Woody Allen se promène à Rome

To Rome with love

 

De et avec Woody Allen

 

Avec Penélope Cruz, Alec Baldwin, Roberto Benigni

 

 

Rome de cartes postales. Déconnecté de la réalité sociale, comme le lui ont reproché les journalistes italiens ?

Certainement, car il s'agit d'un film, léger,  de divertissement, même si les réflexions ne sont pas absentes, sur la "télé réalité", sur l'amour et la "durabilité" des couples.

 

Bonheur partagé d'être à Rome, ville pleine de charme, pour des promenades plus romantiques les unes que les autres.

Reparties humoristiques et pleines d'autodérision.

Patchwork d'histoires d'amours et de destins qui se frôlent sans vraiment se mélanger, pour donner un film agréable, même s'il ne restera probablement pas dans l'Histoire du cinéma.

 

08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma

27/07/2012

L'enterrement de mémé

Adieu Berthe

 

L'enterrement de mémé

 

De et avec Bruno Podalydès

 

Avec Denis Podalydès, Valérie Lemercier, Isabelle Candelier

 

 

Selon Libération, qui le classe dans son tiercé gagnant, ce film est un "übergag structurel".

Il s'agit donc d'un film intellectuel, farfelu, absurde, désuet, mélancolique.

 

Denis Podalydès campe le personnage, lunaire,  d'un homme indécis, entre son épouse et sa maîtresse.

Le décès de la mémé, dont il a la responsabilité d'organiser les funérailles, souligne non seulement son indécision pathologique, mais également son complexe de "Peter Pan", ce qui n'est pas incompatible : l'enfant refuse de s'effacer devant l'adulte.

 

Scénario un peu mince pour faire un film qui n'est pourtant pas sans humour, mais qui ne provoque aucun rire et peu d'émotions.

 

 

08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma

20/07/2012

Le bonheur de voir Sophie Marceau et Gad Elmaleh

Un bonheur n'arrive jamais seul

 

De James Huth

 

Avec Sophie Marceau, Gad Elmaleh, François Berléand

 

 

C'est une comédie romantique, parfaite pour passer un bon moment cet été.

 

Dans "Le rire",  Bergson expliquait les mécanismes du rire à la vue d'une personne qui tombe. Donc,  Sophie Marceau tombe sur le trottoir ou dans les escaliers, Gad Elmaleh tombe du lit ou tombe de haut. Les deux ont une propension à tomber. Comique de répétition...

 

Gad Elmaleh en fait des "tonnes" pour séduire la belle. Mais quel homme n'en ferait pas autant pour Sophie Marceau, au sourire de plus en plus sublime ?

 

Comédie romantique, puisque le "coup de foudre" a lieu au premier regard, et que l'on sait bien qu'ils s'aimeront pour toujours, au moins jusqu'à la fin du film.

 

La bande son plaira à "ceux qui aiment le jazz", dans la lignée de la musique de "Midnight in Paris".

 

 

 

08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma

13/07/2012

Angels'Share

La part des anges

 

De Ken Loach

 

Prix du Jury, Cannes 2012

 

 

L'alcool mis en fût s'évapore partiellement. C'est ce que l'on appelle "la part des anges", aussi bien dans les chais de Cognac qu'en Ecosse.

 

Ken Loach fait ce qu'il sait faire de mieux : du cinéma social, avec des personnages attachants,  plus paumés que délinquants, qu'il traite avec tendresse. Ils ont un accent et un vocabulaire épouvantables.  Je ne sais pas ce que donne la version en français, mais en anglais, heureusement qu'il y avait les "fucking" sous-titres.  Il doit avoir le record du monde de l'utilisation du mot fuck et fucking dans ses films.

 

J'ai pleuré à certains films de Ken Loach, j'ai  aimé le précédent - "Irish Road",  qui se passait en Irak, pas franchement drôle,  aussi ai-je été un peu désarçonné par son choix de traiter le sujet sur le mode de la comédie, souvent drôle, rarement franchement hilarante.

 

Mais nous ne sommes pas obligés de croire à la rédemption par le whisky, même en Ecosse...

 

 

 

 

08:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma