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12/03/2007

Un fumet de regrets

Article dans l'Echo sur le nouveau groupe scolaire de Garbecque

( 1286 habitants ) : coût de 500 000 euros pour 94 élèves avec la

construction d'un bâtiment pour les maternelles à côté du bâtiment

pour les primaires . "Une odeur de neuf accompagne les parents venus

aider les institutrices à préparer les classes " ... Et à Aire sur la

Lys , quelle est l'odeur qui accompagne les parents qui amènent leurs

enfants dans les préfabriqués qui datent des années 1960 ? Une odeur

de moisi ? Une odeur d'ancien ? une odeur de vétuste ?

11:50 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (2)

Qui sort son révolver ?

AREA : Pas d'écho dans le "gouffre" ?

 

 

Déception : pas de réaction à la "tribune libre" de Madame la Présidente de l'Office culturel municipal, qu'il faut complimenter non seulement pour les questions qu'elle soulève mais aussi pour son dévouement et pour le travail fourni. Pas de réponse,  ni de la part du Maire, Président de la Communauté de communes, ni de son adjoint chargé de la culture.

 

 

Si, comme le dit madame Charmet,  reprenant une triste formule rappelant une époque dramatique, certains "tirent leur revolver à l'évocation du mot culture", ils attendent probablement l'heure des votes budgétaires pour faire mouche (culture = moins de 1% du budget communal...).

 

 

Elu(e)s minoritaires nous ne pouvons que réaffirmer notre position : priorité à l'éducation, à l'initiation, et l'Area, loin d'être "inutile",  peut être un merveilleux outil pour cela, même s'il ne devrait  pas être le seul lieu d'initiation et de pratique pour apprendre et se faire plaisir dans les domaines de l'expression artistique, comme cela se fait déjà pour le dessin et le théâtre...justement à l'AREA ou pour la danse à la salle du manège.

 

Non seulement nous ne voulons pas supprimer l'AREA mais nous voudrions lui donner un "petit frère" et nous pensons qu'il est temps de créer dans notre ville une maison de l'expression des jeunes, avec des activités spécifiques pour cette catégorie d'âge (graph, hip-hop etc.).

 

 

L'AREA est le seul,  dans la "Communauté de communes" à permettre l'utilisation du cinéma comme outil pédagogique.

 

Il y a quelques mois nous avions proposé des projections spéciales du film "Une vérité qui dérange" qui montre les causes et les conséquences du réchauffement climatique. Ce film vient d'obtenir l'Oscar du meilleur film documentaire. Le gouvernement allemand vient de décider de le diffuser sous forme de DVD dans tous les établissements scolaires. Comme le souligne Madame Charmet, la ville d'Aire-sur-la-Lys accueille quotidiennement plus de 5.000 scolaires. Des séances spéciales pourraient également être organisées pour les aînés, avec un système de transports collectifs, pour ce film et pour d'autres.

 

 

Comment mieux utiliser l'AREA ?

 

Dans notre programme de 2001 nous proposions déjà "d'organiser l'initiation à la culture, en liaison avec l'Office culturel, dès la maternelle".

 

 

 

Enfin,  nous proposons de mieux utiliser l'AREA, moyennant quelques travaux,

 

- comme centre d'activités de disciplines artistiques, en particulier audiovisuelles,

 

- comme centre de rencontres pour des "séminaires",

 

- comme élément d'animation du quartier.

 

09:25 Publié dans vie locale | Lien permanent | Commentaires (1)

11/03/2007

pour sourire de la politique

Vive la politique !

 

Album collectif de Bandes dessinées (15 auteurs)

 

Editions Dargaud

 

 

 

Chacun(e) a fait ses quelques planches et il n'y a pas vraiment d'unité et encore moins d'homogénéité.

 

Certain(e)s,  comme Florence Cestac et Claire Bretécher,  ont déjà fait des BDs clairement politiques, d'autres se sont rendu(e)s célèbres dans d'autres domaines : Binet (les Bidochon), F'Murr (le génie des alpages), Mandryka (le concombre masqué), Martin Veyron (le déclic) etc.

 

 Au total un album plaisant, diversifié, même s'il est inégal.

 

 

 

14:35 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (2)

10/03/2007

Nue propriété

Nue propriété

 

De Joachim Lafosse

 

Avec Isabelle Huppert et les deux frères Rénier, Jérémie et Yannick

 

 

 

Pas facile d'être femme, séparée, encore en âge de "refaire sa vie",  avec deux grands fils qui trouvent confortables de se mettre les pieds sous la table, pour "bâfrer".

 

Les enfants sont,  au moins,  aussi possessifs que les maris...

 

Et puis il y a la maison de famille. La mère en a l'usufruit mais a-t-elle le droit de la vendre pour partir ailleurs ? Les grands garçons n'ont manifestement pas envie de bouger, ni de changer de vie, donc de laisser faire leur mère.

 

La seule façon de sortir de la crise sera le drame. On pense à Chabrol.

 

 

Isabelle Hupert porte le film sur ses épaules, comme toujours.

 

Des frères Rénier on connaît surtout Jérémie, révélé et confirmé par les frères Dardenne, son frère était jusqu'à présent un acteur de théâtre. Son passage dans le monde du cinéma montre tout son talent.

 

 

15:35 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)

09/03/2007

Piaf au cinéma

La Môme

 

(La vie ne rose)

 

D'Olivier Dahan

 

avec Marion Cotillard

 

 

 

 

Marion Cotillard raconte que ce rôle fut très lourd à porter et qu'elle a envie, pour tourner la page, de jouer dans un rôle plus léger. On la croît volontiers tellement le personnage d'Edith Piaf est prenant. Piaf est plus qu'un personnage de roman (le début de sa vie, c'est du Zola, en pire, à la fin son addiction à la drogue fait penser à Janis Joplin) ou de film, c'est la vie,  telle qu'il est impossible de l'inventer

 

L'actrice explique également qu'elle a beaucoup travaillé les "play-back". La réussite est totale : on s'y croirait et on ressort en chantant tous ces succès internationaux qui restent dans les mémoires.

 

Ce n'est pas un film seulement pour les vieux : mon fils de 25 ans s'y est précipité.

 

 

A noter la prestation excellente de tous les seconds rôles, en particulier Gérard Depardieu dans le rôle du premier impresario, assassiné par le "milieu".

 

 

Une réserve : les allers et retours constants dans le temps ne facilite pas la compréhension.

 

15:20 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)