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18/04/2019

Guillon à "La pépinière théâtre"

Premiers adieux

Stéphane Guillon

au théâtre "La Pépinière" (Paris, Opéra)

 

Stéphane Guillon a 57 ans, l'âge idéal pour parler de la crise de la cinquantaine et pour se moquer des "vieux" septuagénaires.

L'âge de "premiers adieux" qui en annoncent d'autres, même s'il affirme avoir des difficultés avec l'actuel impératif du "politiquement correct." Il ose quand même, et cela fait rire le public.

Son hommage à Guy Bedos ne doit rien au hasard. Bedos nous manque, heureusement il y a Guillon qui se promène en scène avec ses fiches cartonnées pour commenter l'actualité. Je le trouve meilleur quand il se moque de BHL que sur les hommes politiques. Il pose une question restée sans réponse : qui est l'actuel ministre de la culture ? Parmi les politiques,  il ne mentionne même pas Olivier Faure, inquiétant, ou prématuré ?

Il est excellent également dans ses imitations de Fabrice Lucchini, de François Hollande ou Nicolas Sarkozy.

Un bon moment.

 

 

 

08:44 Publié dans Téâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour

16/04/2019

Photos en couleurs du début du XXe siècle

Premières couleurs de Paris

100 photographies autochromes

1908/1930

éditions Parigramme

 

En 1907 les frères Lumière commercialisaient leurs plaques photographiques en autochromes. Les couleurs au détriment de la vitesse. Aujourd'hui ces photos nous semblent féériques.

Paris du début du siècle : peu d'automobiles, des pavés, des artisans, des ouvriers, une autre composition sociale de la capitale. Des bâtiments disparus, comme l'ancien Palais de Chaillot. Les Halles en 1913.

 

08:27 Publié dans photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photo

14/04/2019

Expo photo franco-belge

Rêver

Centre Wallonie-Bruxelles, Paris

jusqu'au 19 mai

 

Pour cette exposition, une majorité de photographes belges, mais pas seulement.

Plusieurs ont remporté des prix internationaux.

Comme toujours dans une exposition, il y a des choses qui plaisent, et d'autres moins.

J'ai particulièrement apprécié la série Pyongyang-Paris, qui montre bien le contraste entre les deux villes, ainsi que les photos de femmes prises, par une femme,  en 2016 dans un petit village du Rwanda.

 

08:17 Publié dans photo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photo

12/04/2019

Dessins français 1770/1815

Génération en Révolution

Musée Cognac-Jay, Paris

jusqu'au 14 juillet

 

Le musée Cognac-Jay, spécialisé dans le XVIIIe siècle, ne mène pas une opération électorale en faveur de Benoît Hamon, mais présente 80 dessins qui se trouvent habituellement au musée Fabre de Montpellier.

Au moment de la Révolution, les commandes royales et princières disparaissent, les Académies sont supprimées. La République naissante puise dans la Rome antique des exemples de vertu et d'héroïsme. Pas de dessins illustrant les évènements révolutionnaires (sauf la prise des Tuileries) mais des sujets tirés de la Bible et de l'histoire antique. Avec une prépondérance pour le nu masculin. Le néoclassicisme prime. Révolutionnaire ?

Le voyage en Italie, sur les traces des vestiges des chefs d'œuvre de l'Antiquité, est de mise.

 

 

08:05 Publié dans expo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : expo

10/04/2019

Henri Cartier Bresson...et plus encore !

Henri Cartier-Bresson en France

1926/1938

et

Museum of the Revolution

Fondation Henri Cartier-Bresson

79  rue des Archives, Paris

jusqu'au 2 juin

 

Henri Cartier-Bresson a d'abord été peintre. Cette formation a renforcé son goût pour la composition et la géométrie.

"Les premières photos que j'ai vues sont celles d'Atget".

En 1931, il décide d'abandonner l'idée de peindre pour se consacrer à la photographie.

Il contribue à l'émergence de la photographie documentaire et sociale, critiquant le formalisme bourgeois. Le Front populaire de 1936 lui donnera l'occasion de prendre des photos parmi les plus connues de son travail.

"Le Leica est pour moi un carnet de dessins, un divan de psychanalyste, une mitraillette, un gros baiser bien chaud, un électro-aimant, un mémoire, un miroir de la mémoire."

 

La Fondation présente également les photos de Guy Tillim, photographe sud-africain travaillant pour le presse locale et étrangère, pour l'AFP et Reuters.

Les photos présentées résultent de ses déambulations dans les rues des grandes villes africaines.

La série tire son nom du Museum of the Revolution de Maputo, capitale du Mozambique.