25/04/2007
une amélioration pour les trans frontaliers
Les transactions financières - virements, opérations de cartes de crédit seront bientôt plus rapides et moins coûteuses - pour les citoyens et les entreprises dans l'Union européenne, selon une législation approuvée, aujourd'hui, par le Parlement européen à Strasbourg.
Ces nouvelles règles pour les paiements électroniques viennent compléter une initiative des banques visant la mise en place d'une véritable zone de paiements unique en euro (SEPA) d'ici à 2010.
En réduisant les délais et les coûts, nous espérons augmenter les paiements électroniques transfrontaliers, qui représentent actuellement seulement 5% des transactions, ce qui devrait en outre soutenir l'activité des petites et moyennes entreprises.
Selon la proposition, les virements entre banques ne pourront pas excéder 24h à compter de l'introduction de la demande à l'horizon 2012.
L'accord devrait introduire plus de concurrence entre les banques et des établissements de paiements. Ces derniers pourront accorder des services de cartes de crédit mais devront montrer une viabilité et stabilité financières au moins équivalente à celles des banques.
La mise en place de ce marché unique des paiements électronique doit se faire dans l'intérêt des consommateurs. C'est pourquoi, les socialistes européens ont insisté pour que les banques dans l'UE informent leurs clients sur les coûts de leurs transactions.
La Commission européenne devra légiférer si les banques abusent de leur position dominante sur les frais de cartes de crédits.
Huit ans après le lancement de la monnaie unique, il est temps que l'Union se dote d'un marché unique des paiements.
Les Socialistes ont toutefois milité pour que la future zone de paiements unique protège les intérêts des consommateurs européens.
Le Parlement européen se montrera particulièrement vigilant quant à la protection des données bancaires des citoyens.
11:33 Publié dans EUROPE | Lien permanent | Commentaires (0)
24/04/2007
Le premier tour de la présidentielle à Aire
Les résultats dans notre ville sont très nets : l'inverse des résultats nationaux.
A Aire, Ségolène Royal est en tête avec 4 points d'avance sur le candidat du gouvernement sortant, qui ne recueille que moins du quart des suffrages.
C'est la première leçon locale de ce scrutin : la sensibilité politique de la municipalité actuelle, celle du gouvernement sortant, ne représente que moins de 25% des voix dans notre ville.
Les résultats par bureaux de vote montrent que notre ville est diverse. Cette diversité est une chance. Les résultats montrent très clairement que certain(e)s Français(es), de nombreuses Airoises et de nombreux Airois, peinent dans leur vie quotidienne et qu'un changement important est indispensable, en particulier pour donner à chacun(e) le maximum de chances dans la vie.
Cela est possible, aussi bien au niveau local qu'au niveau national. En particulier en donnant la priorité à l'éducation.
Une dynamique est lancée, dont le vote du 6 mai sera une étape importante.
12:00 Publié dans vie politique | Lien permanent | Commentaires (2)
22/04/2007
si vous voyez du monde...
si vous voyez du monde devant la mairie, ou devant certains lieux publics municipaux, n'ayez pas peur.
si vous êtes surpris, c'est seulement que vous avez oublié que c'est aujourd'hui que nous votons
prenez une pièce d'identité et allez y
et votez en sorte que nous ayons un choix digne à faire dans deux semaines
08:00 Publié dans vie politique | Lien permanent | Commentaires (1)
21/04/2007
le candidat
De Niels Arestrup
avec Yvan Attal...et Niels Arestrup
Yvan Attal raconte qu'il respecte d'avantage les hommes politiques depuis qu'il a joué ce rôle d'un candidat à la veille du 2ème tour de l'élection présidentielle.
Le film montre, en effet, que c'est "un métier de chien" et épouse d'homme politique encore plus dur puisque les sacrifices sont directs et les gratifications uniquement par personne interposée.
Même si le personnage de Niels Arestup (un "éléphant" du parti dirait-on s'il était socialiste) déclare qu'il faut avoir des "couilles de mammouth", ce n'est pas une question de sexe puisque Golda Meir, Margaret Tatcher...et Ségolène Royal ont prouvé "qu'elles en avaient" !
Yvan Attal raconte également qu'il a rencontré François Hollande à plusieurs reprises pour s'en inspiré pour composer le personnage.
Mais Yvan Attal a manqué quelque chose qui fait perdre de la crédibilité à son personnage : un homme politique, pour être élu, pour arriver au deuxième tour de l'élection présidentielle doit impérativement sourire.
Un air préoccupé en permanence est rédhibitoire !
On peut également, malheureusement, se demander si un discours pacifiste permet de gagner le moindre point dans les sondages.
Si c'était vrai, nous le remarquerions en ce moment, idéal pour voir ce film...
13:10 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)
20/04/2007
Good bye Bafana
De Billie August
Avec Joseph Fiennes et Diane Krüger
La vie de prison de Nelson Mandela, d'après les mémoires de son geôlier ("le regard de l'antilope", que j'avoue ne pas avoir lues).
C'est avec émotion que j'ai revu Robben island (que j'ai visité deux fois...après sa fermeture comme prison).
C'est un film que certains peuvent trouver trop lacrymal. (J'ai pleuré plusieurs fois, mais je ne suis pas un bon critère).
Joseph Fiennes est parfait dans le rôle du blanc qui a été contact du peuple noir, qui accepte d'être un "mouchard" des services de sécurité mais qui se pose des questions de conscience, au point de voir la punition divine dans ses propres malheurs, et qui évolue au contact de la personnalité, hors du commun, de Mandela, tout simplement parce qu'ils sont des êtres humains.
On peut trouver le film misogyne car Diane Krüger y joue le rôle d'une épouse raciste, préoccupée prioritairement, sinon exclusivement, par ses problèmes domestiques.
Comme toutes les "bonnes femmes" ? (j'avoue que c'est une basse provocation pour vous faire réagir !)
L'acteur qui joue Mandela est bon, sauf que, physiquement, quand on a approché "Mandiba" on a du mal à y croire. Un peu comme si on avait fait jouer le rôle de Piaf par Sandrine Kimberlain...
14:00 Publié dans Film | Lien permanent | Commentaires (0)